Most of the Gundam animation (including the earliest series) is set in what is known as the Universal Century (UC) calendar era , with later series set in alternate calendars or timelines . Many UC shows were directed by series creator Tomino, especially throughout the 80s and 90s. However, many new Gundam stories are told in their parallel universe with independent timelines (giving jumping on points for newer generations of kids). The original UC storyline continues to be popular, with new installments frequently produced in and around the other established stories. Nostalgia for the oldest Gundam shows (and its status as a pop-culture icon in Japan) is a factor in its continuing success. [ 13 ]
Mobile Suit Gundam ZZ (1986) : Yoshiyuki Tomino est un pendule. Après le sombre Zeta, le visionnaire part dans l'autre sens avec une seconde suite qui ressemble plus aux Looney Tunes qu'à Gundam. On se demande ce qu'on est en train de regarder... jusqu'à ce que Tomino bascule à nouveau. C'est vers la moitié de la série que Double Zeta se rappelle être la suite de Zeta, avec une hausse de qualité drastique. Il serait tentant de faire l'impasse dessus, mais le reste de l'Universal Century repose sur Double Zeta. Pareil, réservé à ceux qui sont déjà acquis à la cause et qui ont l'endurance pour supporter les premiers épisodes.
Gundam Wing aura de belles parts d’audience et se verra targuée d’une suite en l’OVA Gundam Wing Endless Waltz qui raconte un nouveau conflit un an après. Ce sera également la première série à sortir aux Etats Unis, puis par extension en France. Encore une fois, l’idée fut de renouveler le public de Gundam, accrocher les plus jeunes, et tenter de garder les plus anciens avec des concepts qui les ont habitués.
Pourtant lors de sa sortie, Mobile Suit Gundam ne remporte pas un franc succès, si bien que les producteurs décident même de l’écourter, la tronquant de sept épisodes en raison des faibles scores d’audience [ 10 ] , [ 11 ] . Une compilation en trois films reprenant majoritairement des séquences de la série avec quelques scènes inédites sort cependant en cinéma en 1981 ; de manière surprenante, elle connaît un bon succès grâce au bouche-à-oreille. C’est aussi à ce moment, en 1980, que Bandai commercialise les premières maquettes et jouets Gundam , les Gunpla , qui se vendent extrêmement bien [ 12 ] . La série gagne ainsi une certaine popularité au début des années 1980, suffisamment en tout cas pour qu’en 1984 — c’est-à-dire cinq ans plus tard — Sunrise commande à Tomino une suite : Mobile Suit Zeta Gundam . Commande, ou plutôt impose, comme l’auteur le clame lui-même [ 13 ] . Afin de ne pas subir l’échec relatif de la première série, Tomino apporte une note plus sombre et dramatique au scénario [ 14 ] , ainsi que des personnages plus nuancés, loin de tout manichéisme. Indiscutablement, Zeta Gundam est un succès très important au Japon [ 15 ] , à l’origine de la longévité exceptionnelle de la franchise [ 16 ] .
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